La compétition est surnommée « The Night of Speed » (La nuit de la vitesse). Usain currently holds the world records in the 100m, 200m and 4x100m with times of 9.58 secs, 19.19 secs and 36.84 secs. Le record du monde de 10 s 0 est égalé à deux reprises en 1967 : par l'Américain Jim Hines le 27 mai lors des Califormia Relays à Modesto[3], par le Cubain Enrique Figuerola le 17 juin à Budapest, puis de nouveau en 1968 par le Sud-Africain Paul Nash le 2 avril à Krugersdorp lors des championnats nationaux et par l'Américain Oliver Ford le 31 mai à Albuquerque. By an amazing eleven hundreths … Usain Bolt has broken the 100m world record with a time of 9.58sec in the final of the World Athletics Championship. Approché par le Cubain Silvio Leonard, qui réalise 9 s 98 en 1977 à Guadalajara, en altitude, le record du monde de Jim Hines est amélioré de 2/100e de seconde le 3 juillet 1983 à l'United States Air Force Academy de Colorado Springs[3], également en altitude, par l'Américain Calvin Smith qui établit le temps de 9 s 93 avec un vent favorable d'1,4 m/s[23]. Asafa Powell, 9 s 77 en 2005 et 2006, et 9 s 74 en 2007. "Wind" in these tables refers to wind assistance, the velocity of the wind parallel to the runner - positive values are from the starting line towards the finish line, negative are from the finish line towards the starting line, 0 is no wind in either direction, and all values are measured in metres per second. Usain Bolt shatters 100m world record in 9.58 seconds. Wyomia Tyus égale ou améliore à trois reprises le record du monde du 100 m. Le 18 juillet 1970, à Vienne, la Taïwanaise Chi Cheng, invaincue pendant dix-huit mois sur les épreuves de sprint court, égale le record du monde de 11 s 0 de Wyomia Tyus. Bolt was clocked at 44.72km/h, which is 27.8mph. Quatre ans plus tard, le 22 juillet 1952 en finale des Jeux olympiques à Helsinki, l'Australienne Marjorie Jackson égale les 11 s 5 de Blankers-Koen, avant de réussir quelques semaines plus tard, le 4 octobre 1952 à Gifu, le premier 11 s 4 de l'histoire[50]. Ce record sera amélioré le 9 juillet 1965 à Prague par la Polonaise Irena Szewińska qui devient à cette occasion la première athlète à parcourir la distance en 11 s 1[53]. Jim Hines, premier athlète à descendre sous les dix secondes sur 100 m. Roger Bambuck égale le record du monde de Jim Hines en 1968. Il court les 100 m en 41 foulées[43]. Jamaica's Usain Bolt (2163) runs down the track in a world record time of 9.69 in the Men's 100m at the 2008 Olympics in Beijing on August 16, 2008. À partir du 1er janvier 1977, l'IAAF ne valide que les records du monde mesurés au chronométrage électronique. Le 100 m est très rarement couru en salle, car les lieux couverts ne sont généralement pas suffisamment grands pour proposer une ligne droite aussi longue. Elle est actuellement détenue par le Namibien Frankie Fredericks en 10 s 05 (1996). The following progression of low-altitude records therefore starts with Hines's low-altitude "record" when the IAAF started to recognise only electronic timing in 1977, and continues to Lewis's low-altitude performance that equalled the high-altitude world record in 1987. ", "Progression of IAAF World Records, 2015 Edition", "12th IAAF World Championships in Athletics - Berlin 2009 - Bolt again! Le 1er août 1932, la Polonaise Stanisława Walasiewicz remporte le titre du 100 m des Jeux olympiques de Los Angeles en égalant le record du monde de 11 s 9 de Tollien Schuurman[48]. Le premier record du monde féminin du 100 mètres homologué par l'IAAF[47] est celui de la Tchèque Marie Mejzlíková qui établit le temps de 13 s 6 le 5 août 1922 à Prague. Fanny Blankers-Koen établit le temps de 11 s 5 en 1948. Le 8 juin 1983, à Berlin, elle améliore de 7/100e de seconde son propre record du monde en le portant à 10 s 81 (vent favorable de 1,7 m/s)[56]. Il établit à cette occasion l'amélioration la plus nette du record du monde dans cette discipline (11/100e) depuis le passage au chronométrage électronique, et devient le premier à améliorer trois fois de suite le record du monde du 100 m. Lors de cette course, il parcourt les 100 mètres à la vitesse moyenne de 37,58 km/h et atteint une vitesse maximale de 44,72 km/h entre 60 et 80 m[41],[42]. When Usain Bolt broke his own record for the 100m at Olympics, it was said that it would need someone to do something special to break the record of 9.58 seconds. Gatlin’s rivalry with Bolt went to another level when the former “broke” the Jamaican’s record set in 2009. Allyson Felix breaks Usain Bolt record for world titles, gets first gold as a mom. The closest Bolt came to his own record was a 9.63s run at the London 2012 Olympics – where he defended his 100m crown. À partir du 1er janvier 1977, l'IAAF ne valide que les records du monde mesurés au chronométrage électronique. Usain Bolt of Jamaica celebrates after winning the … ... Bolt’s world titles 3 — 100m 4 — 200m 4 — 4x100m. Usain Bolt the showman. En effet, des témoins de la course décrivent des rafales tourbillonnantes soufflant sur le stade alors que dans le même temps, les triple-sauteurs qui s'élancent dans le même sens que les sprinteurs, voient leurs sauts avantagés par un vent arrière de l'ordre de 5 m/s[60]. (Ben Johnson's 9.95 run in 1986 and 9.83 run in 1987 are omitted.) Ce record est battu d'un centième de seconde, trois ans plus tard, le 14 juin 2005 à Athènes, par le Jamaïcain Asafa Powell qui franchit la ligne d'arrivée en 9 s 77 (+ 1,6 m/s)[31]. Les 9 s 9 sont atteints à trois reprises lors de la saison 1972 : par les Américains Eddie Hart et Rey Robinson le 1er juillet à Eugene lors des sélections olympiques américaines[20], et par leur compatriote Steve Williams le 21 juin à Los Angeles durant les championnats de l'AAU ; à trois reprises lors de la saison 1975 : par le Cubain Silvio Leonard le 5 juin au Golden Spike d'Ostrava[3], et par Steve Williams le 16 juillet à Sienne et le 22 août à l'ISTAF Berlin[21] ; et à quatre reprises lors de la saison 1976 : par Steve Williams le 27 mars à Gainesville lors des Florida Relays, par son compatriote Harvey Glance le 3 avril à Columbia et le 1er juin à Bâton-Rouge, et enfin par le Jamaïcain Don Quarrie le 22 juin à Modesto lors des California Relays[3]. Sa performance sur 100 m, mais également son record du monde du 200 m, toujours inaccessibles de nos jours, ses transformations physiques, ainsi que sa mort prématurée, ont alimenté nombre de polémiques[61] concernant le dopage même si celle-ci ne fut jamais contrôlée positive (à l'instar des anciens athlètes du bloc soviétique)[62]. Le record du monde du 100 m de Don Lippincott est égalé le 16 septembre 1920, toujours à Stockholm, par son compatriote Jackson Scholz, puis battu le 23 avril 1921 par l'autre américain Charley Paddock, champion olympique sur cette distance en 1920 à Anvers, qui établit le temps de 10 s 4 à Redlands en Californie[6]. The first record in the 100 metres for men (athletics) was recognised by the International Amateur Athletics Federation, now known as the International Association of Athletics Federations, in 1912. Mais, convaincu de dopage trois jours plus tard, Johnson est destitué de son titre olympique, entraînant la non-homologation de son record du monde[25]. Le détail par intervalle de course du record du monde d'Usain Bolt est le suivant[44] : 67 records du monde masculins du 100 m ont été homologués par l'IAAF. Britney Spears has shattered Usain Bolt’s record for the 100m dash: according to her Instagram, she ran it in 5.97 seconds, much faster than Bolt’s … En 1929, son compatriote Eddie Tolan égale à deux reprises le record du monde de Charley Paddock : une première fois le 8 août à Stockholm et une seconde fois le 25 août à Copenhague. Le 20 juin 1936, au cours des championnats universitaires des États-Unis, à Chicago, l'Américain Jesse Owens, qui remportera le titre lors des Jeux olympiques de 1936, devient le premier athlète à établir le temps de 10 s 2[9]. Le 16 juillet 1988, lors des quarts de finale des sélections olympiques américaines, à Indianapolis, l'Américaine Florence Griffith-Joyner remporte sa course en 10 s 49 (vent nul) et établit un nouveau record du monde du 100 m en améliorant de 27 centièmes de seconde le temps d'Evelyn Ashford[59]. He improved upon his … Le 14 septembre 2002, lors de la Finale du Grand Prix, à Paris, l'Américain Tim Montgomery améliore d'un centième de seconde le record du monde de Maurice Greene en le portant à 9 s 78, aidé par un vent favorable de 2 m/s[30].

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